Categories > Original > Romance > Ticci Toby X Alice
Plic Ploc...
J'écoute le bruit de la pluie. La lumière grisâtre du ciel recouvre mon corp étendu sur mon lit. Je fixe le plafond, l'air impassible. Je pense. Je pense à ma mère, partie à l'étranger. C'est une femme d'affaire de haut rang et elle n'est pratiquement jamais à la maison. Je crois qu'elle ne m'aime pas. Elle ne s'inquiéte pa du tout pour moi. Elle n'est même pas venue me consoler à l'enterrement de Papa. Quand Elle rentre à la maison, elle s'enferme dans son bureau et gare a celui qui y rentre. Ensuite, Elle reppart à l'autre bout du monde.
Elle est belle, maman. Elle est grande, fine. Elle porte des lunettes rectangulaire qui lui donne un air plus strict qu'elle ne l'est. Elle a les yeux vert et les cheveux brun, toujours en chignons. Elle a le teint pâle. Elle porte toujours son rouge à lèvre rouge pimpant.
Il parait que je lui ressemble.
J'ai de long cheveux brun, lisse, attachés par un gros noeud papillons bleu ciel en demi queu. J'ai les yeux de mon père, marron et profond. Je ne me maquille pas comme les autres fille de 17 ans. J'aime porter des robes, je me sens légère. Je suis fine et j'ai le même teint pâle que maman.
Papa est mort quand j'avais 8 ans. Crash d'Avion. Pas de frère ou soeur,
Je suis seule au monde.
Je regarde l'heure. 9H30. Je commence a 11H00 aujourd'hui. Je regarde le temp qui fait par la fenêtre. La pluie fait place a un magnifique soleil. Je soupir et fini par me lever.
Je déteste le Lycée.
****
Une fois à l'entrée du Lycée, je retire mes écouteurs et me fond parmis les élève.
Je ne suis pas populaire du tout. Je suis du genre discrète. Je n'ai pas d'amis.
Ce qui est étrange, pour quelqu'un de solitaire comme moi, c'est que je me préoccupe beaucoup de ceux qui m'entoure. J'aime observer les gens entre eux. Leurs mimiques, leur expression. Et je me dit que toute c'est personne sont unique. Chaque personne que j'obsèreve a une vision bien a elle du monde, en fonction de ce qu'elle a vécu et avec qui. J'aime penser de cette façon. Les autres ne prennent pas conscience de ça, c'est pour ça que beaucoup de monde sont sans pitié entre eux.
En ce qui me conscèrne, je ne pourrais jamais blessé quelqu'un, physiquement ou moralement.
Je suis faible.
Je déteste ça.
*****
J'ai enfin fini les cours. Je me dirige vers la sortie, tête baisser et livre en main.
Soudain, j'heurte quelqu'un. Je fait tomber mes livre. La personne en question est Bill Tyger. Le meilleur joueur de l'équipe de basket. Il a les cheveux blond, bien coiffé, et a une carrure... assez imposante...
Il me regarde avec un air méprisant.
«- Tu sait pas marcher oû quoi ?!»
Je ramasse mes livre, sans rien dire. Je relève et commence a partir mais Bill me prend violament par le bras.
«- J'te cause là ! Excuse toi !
- ...Pardon...
- C'est quoi ce regard noir que tu lance là ? Tu me cherche minette ?»
Il me donne un coup sur mon épaule droite. La douleur me transperce. Je n'avais pas remarquer la foule d'étudiants qui s'est rassembler autour de nous. Je suis morte de honte.
«- Bon écoute moi bien ma mignonne, j'te laisse pour cette fois parce que je veux pas tabasser une pauv fille comme toi aux risque de me faire choper. Mais la prochaine fois...»
Il me laisse partir.
Je pars en courant. Je rentre à la maison, en larme et l'épaule en compote. Je décide d'aller faire un tour dehor pour me calmer.
*****
Je reste près de la lisière des bois. Ma maison est situer juste a côter. J'aime bien les bois, c'est tranquille, il n'y a jamais personne.
Je m'assoie contre un arbre et lis "Calpurnia".
Je ne pleure plus mais mes yeux sont encore humides. Je suis bien.
Les oiseau chante, le soleil me carrese le visage, l'hodeur de la pluie est encore présente.
Craaaac.
Je me retourne pour voir ce qui a provoquer ce bruit. Je ne vois rien.
Ce n'est surment qu'un chat qui a marcher sur une branche. Me sentant stupide d'avoir eu peur d'un chat, je me retourne pour continuer ma lecture.
Derrière mon livre, je vois une paire de chaussures marron.
Je lève doucement la tête et fait face a un jeune homme habillé d'un sweet marron, avec une capuche bleu, des lunettes ronde et jaune et un masque recouvrant la partie inférieur de son visage.
Il porte deux haches a sa ceinture.
J'écoute le bruit de la pluie. La lumière grisâtre du ciel recouvre mon corp étendu sur mon lit. Je fixe le plafond, l'air impassible. Je pense. Je pense à ma mère, partie à l'étranger. C'est une femme d'affaire de haut rang et elle n'est pratiquement jamais à la maison. Je crois qu'elle ne m'aime pas. Elle ne s'inquiéte pa du tout pour moi. Elle n'est même pas venue me consoler à l'enterrement de Papa. Quand Elle rentre à la maison, elle s'enferme dans son bureau et gare a celui qui y rentre. Ensuite, Elle reppart à l'autre bout du monde.
Elle est belle, maman. Elle est grande, fine. Elle porte des lunettes rectangulaire qui lui donne un air plus strict qu'elle ne l'est. Elle a les yeux vert et les cheveux brun, toujours en chignons. Elle a le teint pâle. Elle porte toujours son rouge à lèvre rouge pimpant.
Il parait que je lui ressemble.
J'ai de long cheveux brun, lisse, attachés par un gros noeud papillons bleu ciel en demi queu. J'ai les yeux de mon père, marron et profond. Je ne me maquille pas comme les autres fille de 17 ans. J'aime porter des robes, je me sens légère. Je suis fine et j'ai le même teint pâle que maman.
Papa est mort quand j'avais 8 ans. Crash d'Avion. Pas de frère ou soeur,
Je suis seule au monde.
Je regarde l'heure. 9H30. Je commence a 11H00 aujourd'hui. Je regarde le temp qui fait par la fenêtre. La pluie fait place a un magnifique soleil. Je soupir et fini par me lever.
Je déteste le Lycée.
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Une fois à l'entrée du Lycée, je retire mes écouteurs et me fond parmis les élève.
Je ne suis pas populaire du tout. Je suis du genre discrète. Je n'ai pas d'amis.
Ce qui est étrange, pour quelqu'un de solitaire comme moi, c'est que je me préoccupe beaucoup de ceux qui m'entoure. J'aime observer les gens entre eux. Leurs mimiques, leur expression. Et je me dit que toute c'est personne sont unique. Chaque personne que j'obsèreve a une vision bien a elle du monde, en fonction de ce qu'elle a vécu et avec qui. J'aime penser de cette façon. Les autres ne prennent pas conscience de ça, c'est pour ça que beaucoup de monde sont sans pitié entre eux.
En ce qui me conscèrne, je ne pourrais jamais blessé quelqu'un, physiquement ou moralement.
Je suis faible.
Je déteste ça.
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J'ai enfin fini les cours. Je me dirige vers la sortie, tête baisser et livre en main.
Soudain, j'heurte quelqu'un. Je fait tomber mes livre. La personne en question est Bill Tyger. Le meilleur joueur de l'équipe de basket. Il a les cheveux blond, bien coiffé, et a une carrure... assez imposante...
Il me regarde avec un air méprisant.
«- Tu sait pas marcher oû quoi ?!»
Je ramasse mes livre, sans rien dire. Je relève et commence a partir mais Bill me prend violament par le bras.
«- J'te cause là ! Excuse toi !
- ...Pardon...
- C'est quoi ce regard noir que tu lance là ? Tu me cherche minette ?»
Il me donne un coup sur mon épaule droite. La douleur me transperce. Je n'avais pas remarquer la foule d'étudiants qui s'est rassembler autour de nous. Je suis morte de honte.
«- Bon écoute moi bien ma mignonne, j'te laisse pour cette fois parce que je veux pas tabasser une pauv fille comme toi aux risque de me faire choper. Mais la prochaine fois...»
Il me laisse partir.
Je pars en courant. Je rentre à la maison, en larme et l'épaule en compote. Je décide d'aller faire un tour dehor pour me calmer.
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Je reste près de la lisière des bois. Ma maison est situer juste a côter. J'aime bien les bois, c'est tranquille, il n'y a jamais personne.
Je m'assoie contre un arbre et lis "Calpurnia".
Je ne pleure plus mais mes yeux sont encore humides. Je suis bien.
Les oiseau chante, le soleil me carrese le visage, l'hodeur de la pluie est encore présente.
Craaaac.
Je me retourne pour voir ce qui a provoquer ce bruit. Je ne vois rien.
Ce n'est surment qu'un chat qui a marcher sur une branche. Me sentant stupide d'avoir eu peur d'un chat, je me retourne pour continuer ma lecture.
Derrière mon livre, je vois une paire de chaussures marron.
Je lève doucement la tête et fait face a un jeune homme habillé d'un sweet marron, avec une capuche bleu, des lunettes ronde et jaune et un masque recouvrant la partie inférieur de son visage.
Il porte deux haches a sa ceinture.
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